Voilà, nos craintes sur le premier sont donc réalités : un barjo veut copier ce qu’il a vu, et on nous sort un film. Si autant dans le premier, le côté chirurgien limitait le côté gore et amateur, ici on est dans le glauque et les atrocités pendant toute la durée du film. C’est sale, c’est encore plus immonde et c’est aussi beaucoup plus dérangeant car encore plus simple dans le déroulement du plan du malade. C’est vrai que si on s’inquiétait sur la santé mentale du réalisateur dans le premier, le second ne nous rassurera pas.
Oubliant tous les codes du film classique, le résultat est un peu bordélique de par ses enchaînements parce que l’ensemble ne suit pas vraiment le même objectif que pouvait affirmer le premier volet. On a du mal à comprendre ce que veut le personnage principal dans cet épisode, car à part les références au premier film, bas il n’y a aucun détails A noter qu’on suit ici le bourreau, et non plus une des victimes, bien que le côté handicapé du sujet prête à son interprétation une excuse mineure.
Pour autant, on ne retiendra pas grand chose de ce film à la fin, si ce n’est un dégoût plus prononcé. Rien n’est construit et rien n’est défait. On nous promettait plus de gore, et on l’a eu. Au prochain épisode, peut être qu’on se placera dans la peau d’un riche milliardaire qui veut qu’on lui construise un milles pattes humain pour son zoo personnel. À moins qu’on ne prenne les extra terrestre. Enfin, la réponse ne devrait plus tarder, mais elle ne nous fera passer q’un moment long et inutile, où l’horreur n’a pas sa place.
Les codes du premier sont oubliés et c’est juste un enchaînement de gore qu’on obtient et une image glauque.
